Ramasse la M....!!! (Enreich Dred) Lincoln Park

Baltus déposa Enreich au monument Lincoln. Enreich ne savait déjà pas que pensé de la combinaison verte que le vieux Gangrel lui avait fait passé. En chemin il fut informé que le ''nid Sabbat avait effectivement été repérer et qu'un assaut serai prévu une fois la menace confirmer. Ce qui l'attendait au pied de la statue le laissa quelque peu perplexe.

Au pied de Lincoln:

C'est ton travaille à partir de maintenant gamin! Intégration! C'est le maître mots tu peux gardé ton masque tu ressortira moins. La moto n'a l'air de rien, mais elle en a dans le ventre. J'y suis pour quelque chose, s'en vouloir me vanté. Fait ton taf tu peux rapporté la moto avec toi quand tu rentrera au bercail. Bon je devrais pas t'en parlé aussi tôt, mais y a des banques, tenue par nos soins, où tous se qu'il te faudra pour subsister te sera fournie. À condition que tu pointes au travaille. Quand ta boite est pleine vient la vidé dans le bâtiment sanitaire du terrain de Baseball de l'autre coté de la rue au Nord.


Il lui remit un trousseaux de clé qui comprenait celle de la moto et ainsi que l'accès à plusieurs ''cabanons'' des parc du secteur de Lincoln Park. En rembarquant dans sa vielle poubelle, il lança ces dernières consignes.


OH! Évite à tous prix le Zoo! C'est le havre des Nosferatus! Pour le raid, je vais te contacté d'ici peu. Bonne récolte!


Il repartie en faisant crier ses pneus et rugir son moteur. Laissant à Enreich le loisir de considérer sa situation.  Il devait ramassé les excréments des animaux de compagnies des humains pour espèrer se faire payer en dose de sang. Qu'est-ce sont sire en aurait pensé???

Gekiyaku:

*C'est étrange de remonter sur une moto après plusieurs années... ou mois ? C'est étrange de reprendre un travail. Son sire lui avait toujours enseigner qu'il fallait prendre ce qui était important. Mais ce genre de comportement obliger a vivre en nomade. Il eut une penser étrange pour son ex. Elle avait eu raison. Il n'avait jamais eu d'emplois stable, jamais de belle vie. Et il risquerai d'y passer l'éternité. Même quand elle sera morte, lui sera encore en train de vivoter de petit boulot en petit boulot... La vie et la morte-vie ont un sens de l'humour macabre. Pourquoi se remettait t'il a vivre dans le passé ? Il s'engage dans la circulation, prudent, ses yeux cherche. Mais son esprit est plonger dans les limbes des souvenirs.

Hier, il avait rêvé d'une histoire que son sire lui avait lue. L'histoire de la rencontre avec Caïn et Lilith. Les souvenirs le fuyait, mais il se souviens que Caïn ce lamentait sur son sort et sa solitude, jusqu'à ce que Lilith le trouve... il se donna une intense gifle mental et se concentra sur la tâche qu'il avait a faire.*

Sang :

Trois long jours s'écoulèrent avant qu'Enreich n'ait des nouvelle sous la forme d'un post-it collé sur sa moto. En dépit des contraintes imposé à son nouveau mode de vie, soit; resté dans le secteur de Lincoln Park, ramassé les crotte de chiens qui croisait, mais surtout ne pas chasser, il expérimentait une nouvelle forme de liberté. Sa moto était remplie d'essence à tous les jours et il n'avait pas de trajet prédéfinie. Une fois de policiers l'ont salué cordialement comme s'il était de la famille. Cette tenue, en apparence voyante, lui procurait en faite un camouflage au dessus de tous soupçons. Son casque de moto obligatoire et le masque de Rasmusen lui procurait l’anonymat à un moindre effort  

Post-it:

En passant devant la maison mobile de la Mama, il put y apercevoir l'une des plus belle moto ''vintage'' qui lui avait été donné de voir. L'incongruité des cris et le volume de la télé qui était à fond empêchait de comprendre se qui s.y passait vraiment, mais Enreich put apercevoir le vampire à qui il avait fait piquer du nez quatre jour plus tôt sortir en claquant la porte. Il avait plus peiné qu'en colère, mais cherchait à tout prix à donné un spectacle macho plus lui même que pour quiconque qui porterait attention à cette scène. Pestant et donnant des coup de pied dans l'air, il ne remarqua pas sa présence alors qu'il se dirigeait vers sa sublime bécane.  

Gekiyaku:

Ramrod n'avait pas discuté des cette avorton avec la vielle, mais sachant bien qu'il avait dut entendre au moins en partie son altercation avec elle. Pourquoi ne pas lui en donné une fausse idée. Enreich remarqua que son ''cousin'' changeait de sujet pour caché un aspect vulnérable de sa personne. Il pointa Enreich d'un  doigt accusateur et tremblant.



Pour toi l'épave, ce sera monsieur Ramrod ou juste monsieur, pas autrement! Me cherche pas vermine ! Je viens de me faire interdire de te régler ton cas définitivement. J'aurai mieux fait d’agir et de demander pardon plutôt que de vainement demander la permission. Alors dégage de ma vue si tu veux pas me faire briser une promesse que je viens de faire.



Il enfourcha son bolide et le fit démarrer, faisant signe à Enreich de partir devant, comme il occupait partiellement le chemin de terre battus qui sortait. À l'entré du parc de maison mobile, attendait les des Ghoules de Ramrod. Précaution que celui-ci prenait depuis l'attaque Garou/Sabbat qui avait eu lieux vingt ans plus tôt. L'exode forcé des Gangrel suivit d'un retour rugueux dans la camarilla n'avait fait que renforcé se sentiment d’insécurité et son comportement paranoïaque.

Gekiyaku:

*Il sourit sous cape. L'épave qui avait transformer l'ancienne moto de Ramrod en tas de métal froissé sur la route. Il pouvait le menacer, mais vue les compétences qu'il avait mis lors de la chasse, les risques était ridicule. Il le regarda partir, un sourire aux lèvres, avant de se diriger vers sa propre moto, La Soif le rappela à son bon souvenir et il fut saisi d'un frisson. Il avait froid dans ces tripes, une froideur inconfortable. Il grimpa et l'alluma avant de partir vers l'avenue Fullerton Ouest. Il était concentré sur la route, mais la soif le déconcentré peu a peu et il se remémora les rares fois où il avait dû attendre autant de temps avant de satisfaire ses veines qui le brûlait.*

La banque de sang nommé source de vie n'était qu'un banque de snag comme les autres en ville. C'est à dire une couverture pour le réseaux de distribution de sang à la population vampirique Camarillienne de Chicago. Enriech se stationna tout juste à coté d'un camion de livraison qui arborais des inscriptions orientales surmonté par un muffin souriant. Une odeur enivrante de pâte à biscuit s'en échappait, mais le kindred qui se sentait dépérir n'aurait pus moins s'en soucier qu'à cette instant. En passant la porte toutes suite, il put remarquer que l'endroit empestait l’antiseptique. Probablement pour évité la moindre effusion avec les ''clients'' trop pressé. Devant le comptoir de service, un jeune homme japonais semblait vouloir discuté de son insatisfaction avec un commit qui s'efforçait de l'ignorer. À la simple vue d'Enreich celui-ci écarta son interlocuteur et se saisie du fusil à canon scié fixé sous le comptoir.



Que puis-je pour toi l'ami? Normalement à cette heure nous somme fermé! Pour les clients dépot en tout cas.


Le hall d'entré était occupé par une faune nocturne qui à l'exception du japonais n'avaient rien d'accueillant.  

Gekiyaku:

Le commit en avait rarement vue d'aussi affamé. Il espérais ne pas avoir à régler une situation de plus, déjà qu'il avait plein les bras avec ce bonnet de japonais qui avait toujours à redire sur sa livraison. D'accord il fournissait les centre de collecte en biscuit et ce ''gracieusement'', mais ce n'était pas une raison pour être un emmerdeur de première. Le jeune homme était livide et cela mit immédiatement le commit en alerte.  



Ah merde! c'est trou d'balle au sommet ton mit en sevrage probatoire et c'est ici qu'ils t'envoient pour ton premier fixe. Ah les cons!  





Intolérable! J'était ici en premier je demande un minimum de service voyez-vous!




Toi le nippon d'merde tu prend ton trou et tu va attendre  sur le banc dans l'coin là-bas! J'ai une putain d'urgence potentiel sur les bras et j'ai pas le temps pour ton petit manège de mes couilles. Allez on va passé de l'autre coté, merde ça fait combien de jours que tu te retient! Ta le nom de ton ''parrain'' en ville, il doit t'avoir prix un rendez-vous?  


Il quitta sont comptoirs, en ignorant toujours le cuisinier, pour allez quasiment prendre Enreich par la mains pour le conduire de l'autre coté dans une des sale de ''collection''


Clarence

*Il se laissa naviguer dans des pensés soudain envers le japonais à côté. Il se demanda si sa vitae était puissante. Il senti un élancement furieux dans ses veines, tandis que la bête gronder son désir de sang. N'importe quel sang ! Il jeta un coup d'oeil au japonais et remarqua que quelqu'un avait allumé la lumière... puis il compris que les Yeux de la Bête lui déformer le regard, il souffla et les chassas d'un geste avant de regarder à nouveau le vendeur. Il ne répondais pas à la première question, qui était purement théoriquement :*
"Baltus Newcastle."

Un envoyé des Gangrels, le premier en dix ans de carrière. Ceux-ci avaient tendance à proclamer leur indépendance par des boycotte symbolique des infrastructures Camarillienne.  Clarence n'aimait pas vraiment le vieux NewCastle qui se comportait toujours comme si ''la bête'' qui sommeillait en chaque vampire n'était qu'une légende urbaine. Il regarda un instant la fiche des visite Vit que cette raclure de flicaille avait réservé jusqu'à dix unité. Il laissa Enreich un instant seule dans la pièce pour revenir avec une glacière médical qu'il déposa sur le comptoirs à coté d'un petit lavabo.



Wow! J'ai pour ordre de te fournir jusqu'à pus soif, t'es chanceux! Sérieux ce vieux con commence à me les brisé solide! Tu savais qu'en faite il était ''végétarien''? Son crédit ici crève le plafond, il n'y touche jamais petit veinard! Bon comment tu préfère avoir ton fixe? Personnellement, j'ai faible pour l'injection classique par rapport à l'ingestion. Plus plus long et plus propre certes, mais si tu es vraiment pressé...



Il prenait bien garde de ne pas ouvrir la boite avant d'avoir la certitude qu'il n'en foutrait pas partout. C'est à lui et pas à l'autre vieux connard d'anglais qu'on en voudrais si l'endroit était salopé.

Gekiyaku:

Et ben non! Je dois que le crédit de monsieur reste en banque et que je lui fournisse que de mon meilleur ''stuff''. C'est ça le capitalisme au sommet de sa gloire! Ce son les ''moins fortunés'', comme l'autre pâtissier de mes deux fesse, qui en pâtissent et au final c'est qui viennent faire chier au cube.



Il ouvrit la glacière et en sortie plusieurs poche qui était dans des emballages opaques. Il les déposa à coté du lavabo et quand Enreich trancha pour se qui était de la façons qu'il allait consommer, il lui fit signe de s'approcher.



[...]




Vient le faire au dessus du lavabo, c'est moi qui ramasse alors essaie de pas en foutre partout. C'est pas le truc centrifuger qu'on trouve dans les hôpitaux. C'est directement du bras du donneur jusque dans ta gamelle mec! D'ailleurs, il te veut clairement en forme et chargé à bloc ce vieux schnock! T'as une idée du pourquoi?




Clarence en avait vue d'autres passé par cette état second, au bord de la rage de sang. Il avait sut prendre les choses en mains quand la situation le demandait, mais il restait un inconnue avec celui-là. C'était les légendaire griffes des Gangrels supposément capable de découper au travers de tout. Sa curiosité était forte, mais ne savait si il s’abaisserait à lui demandé une demo.

Gekiyaku:

"Comme partout, les meilleurs ont ce qui à de mieux. Les moins fortunés ont les restes. Un système imparfait dans ces détails mais un système qui fonctionne et c'est mieux que le chaos et l'anarchie. Un pâtissier ? J'espère pour lui qu'il peu goûter ce qu'il prépare, sinon, je le plaint. Et oui, j'ai une petite idée."

*Sans une once de cynisme. Il déclare bas, quasiment pour lui-même :*
"Prions Caïn que je me trompe."

*Il ouvre la poche ( si nécessité d'un objet coupant, il utilisera le couteau qu'il à choper sur le cadavre du truand) et commence à siroter la poche. Le sang avez un goût fade. Presque sans saveur. Oh, il y en avait, mais comparé au sensation d'un corps humain chaud, pressé contre le sien, c'était fade et sans saveur. Mais cela valait t'il mieux que de vider un être humain de son sang ? Il bue lentement. La bête semblait bouder, comme si elle avait était vexer de boire un sang sans saveur...*

Sang:

Cette dernière remarque lui en disait gros sur le personnage qui se tenait devant lui. Un de ces ''croyant'' qui c'était fait bourrer le crâne. Il le regardait sucer sa poche de sang avec dégoût et ne pus s’empêcher de pouffer de rire en lui posant quelque questions.



Ah ouais c'est juste un patois imbécile t'est du genre croyant? Il me semble que Caïn est tout sauf un saint? Pfff! Pourquoi le prie tu comme s'il en aurait à foutre de toi ou de quiconque ayant croisé son chemin? Ton sir de citait le livre de Nod je pari!



Enreich ouvrit une seconde pochette en continuant son repas, dans la glacière il pouvait compter huit autre dans la glacière. Ces forces lui revenaient progressivement et il pouvait sentir que bien que pas très appétissante cette option serai viable, pour un temps. Clarence semblait du genre à mettre les gens dans une boite, les étiquetés et les ranger sur une tablette pour ne plus y touché ensuite.

Gekiyaku:

*Il sourit, il était d'humeur à philosopher, qu'importe que c'était autour d'une poche de sang ? :*
"Caïn n'est pas un saint, comme tous ceux qui partage son sang et comme beaucoup d'autre humain. De toute façon, l'innocence, c'est très subjectif comme concept. Comme le concept de vertu et d'honneur. Subjectif. Tous des concepts morales et philosophique. C'est comme la religion, très lier à la façon de voir le monde."

*A la mention de son sire, il sourit doucement :*
"Le livre du Nod... oui, il m'en as citer quelque passage... et m'en as graver à coup de couteau quand il s'ennuyer."

*La poche de sang avez aucun goût. Mais au moins, la vitae était dedans et ces forces revenaient.*

Clarence en avait souper des petits kindreds faux bourgeois avec leur problème mortels dans les deux sense du terme et ce ''spécimen''était une bouffé de fraîcheur dans sa morne fonction quotidienne.




Je suis certainement indiscret de te demander d'où tu débarque comme ça? J'veux dire t'es pas un néo-natale, tu fait preuve de trop de maîtrise pour être un bleu et t'es certainement pas un camarillien de longue date...

Gekiyaku:

Sang :

Tu chlingue plus que la merde de chien que tu trimbale, t'a fait le voyage Antlanta/Chicago dans un camion de fumier en feu ou quoi? Ensuite, il y des centres comme celui-ci à Atlanta ainsi que partout sur la côte Est, et c'est clairement ta première expérience avec la ''viande froide''. Si tu veux me faire croire qu'un type Baltus te ferai des ''cadeaux'' pour te souhaité la bienvenue, alors qu'il peut déjà mobilisé qui il veux du clan en ville pour faire son sale boulot. C'est lui le whipp Gangrel après tout! T'es clairement un franc-tireur qu'il veux mettre en première ligne dans une de ces petites descentes. J'me trompe?!




La situation du Kindred ne semblait t'être étrangère à personne sauf à lui-même. Il ne pouvait dire si l'homme devant lui le narguait ou le prenait en pitié. Dans les deux cas ça lui laissait un goût plus amère que le sang qu'il consommait sans grand entraint  Il semblait par contre en savoir énormément sur se qui se passait en ville, probablement dut à sa situation professionnelle. Les choses qu'ils devaient se dire autour d'une poche de sang...



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Gekiyaku:

*Un peu maussade et pensif :*
"J'ai fais le voyage dans un camion plein de squelette, dommage, personne ne les avais ranger dans un placard. Quand a Atlanta, tu est un grand malin et perspicace. Et tu remarquer à quel point les gangrels sont familier avec les centres. Tu ne t'es jamais demander pourquoi ?"

*Sourire forcer.*

Pour qui se prenait-il? D'accord lui-même était tomber en déshonneur dans son clan et il purgeait sa pêne sans grandes joie certes, mais que les ressources qu'il passait le claire de son temps à trier conservé aille à n'importe qui, n'importe quand, lui importait qu'en même. 



Noonnn! Cette question ne m'as jamais effleurer l'esprit! Pas même une seconde! Toi tu as surement la réponse et je ne voudrais te privé du plaisir de me faire la leçons. Je fait ce boulot que depuis dix ans! Vas-y éduque-moi!

Gekiyaku:

"La réponse est : Aussi multiple que chaque individus."

*Il regarde du coin de l'oeil la personne qui le parler, gêner par quelque chose, il ignoré même si l'interlocuteur était mortel ou vampire.*
"Dix ans de carrière, hein. Ta dû en voir du monde. Et c'est un joli sarcasme que tu me lance à la tête."


*Respiration inutile, qui lui ravive le non-goût du sang qu'il buvait pour calmer les palpitations de sa faim. Si ça bête pouvait prendre une figure humaine, elle serait en train de cracher son âme et l'agonir d'injure pour lui faire boire cet poche.*

Sang :

Hey! J'ai commit l’erreur dénoncer des idées d'égalité et d'équité entre les classes sociale, mais dans le clan Tremere, c'est ici que ça te conduit. À servir de la ''viande froide'' impunément volé au service de santé à d'ingrates personnes qui ne sont pas assez douées pour se nourrir proprement. C'est assez direct et sans sarcasme à ton goût?!  
'


Il s'avait maintenant qu'il ne ferai pas de dégât et était soudainement en manque des plaintes ridicules du bonhomme japonais.    



Oh on a un vestiaire pour te changé, l'autre british te veux saper et prend donc une douche par la même occasion et ça c'est à ma demande.

Clarence reprit sa place derriere son bureau et indiqua à Enreich la direction des vestiaires au bout du couloir et son numéro de casier.


Emporte la glacière avec toi! Cadeaux de la maison!  Bon et où en étions nous monsieur Atamachin truc ?


[...]





La pièce, froide, stérile et austère n'offrais aucuns réconforts, ni sentiment de sécurité au Kindred. Dans le casier il trouva deux ensembles de vêtement: veste pantalons et sous vêtements soulier etc... Tout en double, mais de styles différents.

Outfit:

Les douche occupait pièce rectangulaire toutes au fond du vestiaire. chaque cabine était ''séparer'' par des murs de céramique qui s'arrêtaient à peine plus haut que la tête.  L'eau qui  sortait était immédiatement chaude et des serviette étaient à sa disposition dans un placard. Dans les poche de la veste, il y avait un téléphone cellulaire avec un seule contacte au registre;



-ALPHA-

Gekiyaku: