Des signaux de fumée!!! (Enreich Dred)

Rasmusen passait de bons moments en compagnie d'Enreich. Dans les jours qui avait suivit leur rencontre ils avaient discutés plus amplement du plan qui consistait à introduire le véhicule piégé dans le repère du pack sabbat qui se faisait appelé ''la base cour''. Inconsciemment immunisé aux liens mystique du sang vampirique, il n'avait jamais réussi à se fraternisé pleinement avec quiconque dans ce groupe de sociopathe qu'il l'avait ''recueillit'' après le massacre de ses semblables. Sa créativité et son indépendance demeurer intacte, il en avait été une question de survie de se plier aux exigences de Richard ou de la dame pour accomplir les pire saloperies qu'il n'avait jamais eu à commettre.  Pas qu'il en avait des remords, mais c'était plutôt l'idée de choisir librement qui, où et quand il truciderait quoi que se soit qui le chatouillait douloureusement. Et maintenant il c'était trouvé un compagnons dans le crime, pour le moment.





Dans le parking du Gethsemane Garden Center   avait lieux la rencontre entre les deux ''acolytes'' échangeait les matières premières à leur plan ainsi que des idée sur l'emploie des pouvoirs qui était les leurs. 


Concentre toi bien, Teddy la banane, qui était un Gangrel bien plus férale et charmant que toi, m'a expliquée que votre truc avec les yeux n'était qu'une question d'humeur, d'émotion primal et que ça pouvait ce contrôler. Quand tu active ton machin qui fait briller tes yeux à quoi tu pense? Et ben à partir de ça chercher la pulsion qui te ferai pensé à la couleur jaune. Ainsi tu pourra te faire passé pour moi aux prêt de ces tarées juste tu ne pourrait le faire avec un petit ''masque''. Personne n'osera croiser ton r'gard si tu réussi à ne serai-ce qu'à paraître Sethites. Sans vouloir me vanté, on baisse les yeux quand j'passe. Je suis tout de même le ''second aux commandes'' dans notre petit groupe érythrocyte. C'est comme ça qu'on dit!? 






Baltus New Castle  parcourrai le quartier à la recherche du Vampire qui brisait la mascarade depuis quelque semaines en laissant repartir ces victimes toujours bien portantes sans avoir nettoyer leur esprit ou un quelconque autre formes d'action pour couvrir ses traces. La petite histoire de la ''nouvelle drogue du viol en circulation'' avait été bien accueillit en règle générale.  Il avait d'abord dut éliminer les principaux suspects plausible au sein de la camarilla local en vérifiant leur alibis. Bien qu'il ait douté de cette éventualité depuis le début. Cette individu laissait beaucoup trop de ''miettes'' derrière lui pour être un Camarillien et ne massacrait pas assez ses victimes pour appartenir à un pack sabbat. Non, il avait affaire à un Vagabond, un sale coyote qui venait impunément fouiller dans les pâturages du prince Lodin. Il soupçonnait le petit malin qui lui avait filer entre les pattes à l'aéroport d'être son gars. Otiz qui était sur le siège passager de la El-Camino qu'il conduisait se mit à chouiner se qui indiquait qu'il avait peut-être une piste.  Le fait qu'il ne tue pas ses victimes le rendait sympathique à ces yeux, mais ce ''Krindred rookie'' laissait des signaux de fumée dernières lui et il ne tarderais pas à ''déclencher un incendie'' si il continuait ainsi.   
 





 

Gekiyaku:

Tu l'a presque eux. Ça me semble un peu plus orangé que moi, mais franchement, j'peux pas dire! J'me r'garde pas très souvent dans un miroir.  


Nah c'est moi ''l'expert'' du groupe. Une fois j'suis tomber sur un Toréador qui était en transe devant un de mes graffitis. Je peux pas l'en blâmé, j'suis un vrai artiste! T'as vue un exemple de mon travaille l'aut'jours. Ben pour faire court, je me le suis payer sans en laisser une goûte aux autres.

Graffiti:

La tête m'as tournée et j'ai eu des envie d'opéra, de théâtre et de littérature classique pendant quelque mois, mais un soir je me léve et BAM!!! J'avais des sensations sur-puissantes et pas longtemps après je pouvait voyais des couleurs changeante autour des gens...   Hey oh! Tu m'écoute.  

Enreich avait les yeux rivée sur le tête du chien qui dépassait de la fenêtre de la El-Camino qui passait sur la rue Clark et tournait maintenant le coin de l'Avenue Ardmore pour passé au nord. du parking où lui et Rasmusen s'étaient donnés rendez-vous avec leur véhicules respectifs. Le clébard semblait le regardé fixement. La voiture prenait tout son temps pour tourné le coins puis s'engouffras dans la ruelle qui circulait à l'ouest du parking. Au travers du grillage, Dred put remarquer une paire d'yeux rouges qui le scrutait de l'intérieure de l'automobile en leur tournant autour comme un vautour.

Gekiyaku:

*Il se pencha et couvrit sa bouche de sa main comme un bâillement, seulement, il murmura a Ranu d'un ton impérieux et presser :
"Un membre de notre "famille" nous observe avec son clébard, il nous tourne autour avec sa caisse depuis quelque minute..."

*Il continue à observer de manière nonchalante les alentours, bien qu'il était passer du stade calme au stade sous-tension.*
"Je doute qu'il soit porteur de bonne nouvelle... il va falloir le cendré..."

La El-Camino poursuivit vers le sud  pour ensuite passé tout droit devant l'accès du parking qui donnait dans la ruelle pour ensuite disparaître en tournant à l'ouest sur la rue Vitoria.
Rasmusen paniqua et voulu embarquer dans son auto pour filer maintenant que l'intrus était hors de vue.


Bordel! Foutons l'camp avant qu'il r'passe! 'cest peut-être juste qu'une tache d'un autre pack ,dans ce cas on peut gérer, mais si c'est un des plouc de la ''Cami'' on est mal. Il sont du genre acharnés et extrêmes quand ils prodiguent leur justices tordu. Ah putain d'clés!


Rasmusen, soufrans du syndrome du même nom, avait des problèmes de dextérité avec sa main droite, mais celui-ci insistait  pour l'utilisé comme si de rien n'était. Enreich l'avait remarquer sans jamais vraiment ramener le sujet dans leur discutions.


 



Baltus ce demandait comment la poursuite allait ce produire. Il avait donné un coup de pied dans le bosquet. Ne restait qu'à voir s'ils partiraient chacun de leur coté comme deux faisans ou à l’unissons comme une paire de lièvres qui filerais de terrer autre-part.    

Gekiyaku:

*Il gamberge vite :*
"On ne peu pas. Si jamais on fais l'erreur de partir en courant, il va nous suivre dans nos refuges et il lui suffira d'enfumer ledite refuge pour nous obliger à la confrontation et on sera séparé."

*Réflexion, il n'aimait pas beaucoup cette idée car elle faisait du bruit :*
"Ta une grenade, il va falloir s'en servir..."

Ils ne bougeaient pas! Baltus en était quelque peux déçue, la chasse et la poursuite étant son modus opérandi favori. C'était sa dernière cible en tant qu'inspecteur de scotland yard qui l'avait introduit, bien mal-gré lui, à l'immortalité. Maintenant, il mettait ce fardeau au service de ça communauté de la façon qu'il jugeait la plus honorable. S'ils cherchaient un face à face et bien ils en auraient un.







Comment tu sais que... Bah! De toutes façons, j'adore ça! T'es rien qu'un malade mec!


Il commença à vider le contenue de ces poches par terre pour finalement en extraire l'objet de mort qui échappa à l'emprise de sa main droites pour aller rouler vers le milieux du parking. Les phares de la El-Camino éclairèrent les deux comparses, quand elle repassa par la rue Clark pour pénétrer dans le parking. Rasmusen enfila son masque de hibou et ce redressa pour se mettre en garde alors que la voiture s'arrêtait à une quinzaine de mètre d'eux.

Gekiyaku:

*Il était temps, a l'approche de son adversaire, le reste du cerveau humain de Dred lui hurla de courir, de se cacher, qu'il allait prendre des risques inutile en affrontant un adversaire certainement plus puissant. Il étouffa la voix du mieux qu'il put, bien que son âme étaient hanter par la peur et l'exaltation. Oui, son adversaire étaient plus puissant, oui, il était plus dangereux, oui, il était accompagner d'un chien. Dred pompe son sang vers ses muscles et ses tendons, les rendant plus élastiques et aussi vite que possible. Il se déplace et ramasse la grenade, en prenant garde à ne pas montré le contenu de sa main. Il se replace et se prépare a la confrontation, il déclare a Ran' :*

"Je m'occupe de la grenade. Mon sire ma montré comment m'en charger. Une fois. Il a un chien au faite, si jamais tu peux t'en charger, tue le. Si jamais le combat semble être perdu... fuis et ne le laisse pas te toucher, si jamais il t'attrape, tes un homme mort..."


[Dépense de 2 points de sang pour augmenter la dextérité à 5. Dred sortira ses griffes au dernier moment].

La portière du conducteur s'ouvrit et un homme de stature magistral en sortie. Il avait la mâchoire carrée, le cheveux grisonnant et cette aire d'assurance qui ne semblait absolument pas vain. Le chien sortie par l'autre fenêtre et se plaça à l’opposer de son maître par rapport à la voiture.


Alors mes p'tits punks à la mord-moi-nœud, je suis Newcastle des services sûretés municipale. Vos tête ne me reviennent pas donc j'en déduis que c'est vous les touristes qui pique-niquez sans permit un peu partout en ville. En plus vous ne ramassez pas vos déchets et les laissez rependre de belles rumeurs. Normalement vous vous en sortiriez avec une amende et une tapette sur les doigts, mais vue vos infractions répétées et le fait que vous n'ayez aucuns ''papiers en règles'', je vais vous demander de me bien vouloir me suivre ''au poste'' et ce bien gentiment.  


Otiz n'aimait la vibration qu'il ressentait emanant de ces deux là. Il n'était celui qui se tenait derrière transpirait la peur mais l'autre était trop confiant se qui fit grogner grogner l'animale. Rasmusen chiait littéralement dans son froc, l'assaut frontale n'ayant jamais été sont point fort. Il allait enfin voir si Enreich avait les tripes qui lui faisait défaut pour l'exécution de son plan. À condition qu'ils survivent à cette soiré, le cas échéant, il lui ferai le plus mortel des masques qu'il ait jamais confectionner.

Baltus Newcastle:

Gekiyaku:

*Calme toi Dred. Ne perds pas le contrôle, sinon, tu risque de lancer la grenade avant de foncer avec tes griffes. Il articule, difficilement les premiers mots comme si chaque mot lui couté, certain aurait pu juger que c'était la peur... mais c'était plus l'excitation qui le tenaillait. Il n'avait jamais était bagarreur. Mais il avait souvent vécu cette situation, avec son sire... calme toi... Il passe sa langue sur les lèvres, il avait l'impression que ses dents s'était transformé en poignard affuté :*
"Votre tête non plus ne me dis rien et pourtant... j'en ai croisé des officiels avec mon sire... peut-être que si vous avez un "badge" ou une preuve... pour me montré que vous êtes réellement se que vous prétendez-être... notre monde est rempli...d'escroc et de menteur..."

*C'était de la provocation gratuite, mais elle avait un but... lui faire gagner un peu de temps. Il avait dégoupillé la grenade et commencer à compter mentalement. Arrivé a 5, il lancera la grenade de toute ses forces. 5, c'était le temps qu'allait mettre la grenade pour parcourir la distance, sa cible était le pare-brise et il compter sur l'obscurité pour que son adversaire confonde l'engin meurtrier avec un simple caillou.. jusqu'à ce qu'il soit trop tard.*


(Dred la dégoupillé lorsque le texte deviens rouge.)

Quand l'objet perfora le par-brise de la voiture, Baltus ne fit pas de cas de ce geste de vandalisme mineurs. Aussitôt Otiz aboya l'aire apeurée en prit la tangente, il se dit que l’instinct de son compagnon ne devait pas le tromper et fit de même. La grenade explosa en un coup de tonnerre tonitruant expulsant verre, métal et shrapnel brûlant aux alentours. Les alarmes déclenchable à porté de la vibration retentirent en un cœur accompagnant l'écho de l'explosion dans le cafarnahomme de la nuit urbaine.


Baltus s'accroupie se protégeant de son trench-coat. Aucuns des éclats ne pénétra sa chaire rendu indéfectible comme le rock par l'immortalité. Otiz n'avait cette chance et s'écroula au sol quand il fut atteint à sa pâte antérieur droite.

Gekiyaku:

*Il avait compter, puis avait lancé, comme chaque fois qu'il faisait une action stupide, l'air s'était fragmenté en morceau. La grenade avait volé dans l'air comme un oiseau grossier. Puis avez perforé le pare-brise. Dred se baissa pour évité d'offrir trop de prise aux éclats, se protégea les yeux avec son bras, tandis que l'autre se tenait devant son torse pour éviter qu'un éclat ne le blesse trop grièvement. L'explosion était encore plus assourdissante qu'il ne l'avait pensé. Ses oreilles siffler douloureusement. Une fois que tout les morceaux était retombé, il se redresse, un peu sonné par le souffle. Il remarque que son adversaire et toujours débout...*
"Merde..."

Spoiler:

Des éclats de tôle et de verre brisés passèrent au dessus d'Enreich, alors que la détonation l'assourdie complètement. Il n’entendait plus qu'un cillement suraiguë surmonté d'un bruit de chute d'eau. La silhouette imposante de Baltus apparue au travers de la colonne épaisse de fumé. Du sang s’échappait de tous les orifices de sa tête, mais ça ne semblait pas trouble son équilibre ou sa diction.

Dommage :

Espèce de petit éffronté! N'as-tu donc aucuns respect pour les classiques américains. Je gardais ce bébé en condition depuis bientôt trente ans?!


Il avançait tranquillement, comme-ci rien ne pressait. Le bruit des gravât craquant sous ses pas qui commençaient à devenir audible pour Enreich qui perçu également la plainte du chien qui boitait un peu plus loin. Un regard en direction de son compagnon lui fit constaté que celui-ci avait disparu du champ de perception conventionnel. Rasmusen se dirigeait vers sa voiture remplie des éléments clés de leur plan.    

Gekiyaku:

*Il n'était plus qu'instinct, inutile d'un examen de sa personne pour savoir qu'il avait subit de léger traumatisme suite a l'explosion, mais a défaut de l'avoir détruit, il avait anéantit a jamais le véhicule du shérif. Il se lève et se précipita d'un bond vers sa voiture, en gardant un oeil vers son adversaire. Il ouvre la portière et se jette dedans, puis démarre la caisse pour s'enfuir. Il espérait que Ran' avait réussit.*

Au moment ou il jeta un regard vers la voiture de son copain, il put l'apercevoir y embarquer et démarrer au quart de tour. Baltus de son coté se serai lancé à leur poursuite si ce n'avait été des gémissements d'Otiz qui le soutira à sa tâche. Il se précipita au secours du chien en dépit de la cible facile qu'offrait son assaillant en fuite vers son véhicule.


Otiz! OH BLOODY HELL! Attend copain j'm'occupe de toi, mais il faut qu'on décampe avant! Tout va être okay! BLOODY FINE! Allez tient bon mon bonhomme!

Alors qu'ils quittaient le parking par la ruelle afin de se mêler à la circulation, avant que celle-ci ne soit bloqué complètement, Rasmusen et Enreich purent apercevoir l'homme qui portait son chien dans ces bras plus bas sur la rue. En tournant un coin de rue, il sortirent immédiatement de son champs de vision. Un ou deux coins de rue plus tard, Rasmusen contacta Enreich sur le téléphone de Karen en lui envoyant un texto.

Texto;:

Gekiyaku:

*Dred s'arrête sur Oakton street, il fallait se débarasser des voitures et même, les détruire, Ran' s'arrête a proximité et il lui explique son plan :*
"Je vais chercher de l'essence en modifiant mon image. Il faut qu'on détruise les bagnoles pour empêcher un chien de venir fouiner à l'intérieur. Ou un sorcier... On a certes de l'essence, mais si tu ne peux faire la bombe, alors..."

Alors qu'il revenait avec les jerrycans d'essence Enreich put constaté que son ami ne c'était pas calmer. Il regardait nerveusement dans la rue et sursautait presque à chaque voiture qui s’engageait dans la cour de la station service.
Avant qu'ils ne repartent Rasmusen le prit par le bras et lui afficha un visage plus exciter que craintif.


Mec! On est mal! T'as vue! C'est pas qu'un peu qu'on est dans la merde! Ha ha ha! Il tenait encore debout bordel! J'crois pas les ouï-dires d'habitude, mais là j'l'ai vue et j'peux y croire! Wow! Ce type n'est pas un mythe.  Mais bref comme le roast beef est sur notre cas il est logique que nous accélérions la cadence pour l’exécution du plan. Hou là! Quand je pense à la force de ce type, j'voudrais t'le drainer jusqu'à se qu'il soit sec comme un pruneau juste pour voir c'que j'en tirerais. T'es pas curieux?

Gekiyaku:

*Il regarde Ran' droit dans les yeux et ses yeux rouge n'exprime rien d'autre que les instincts de la bête :*

"Je suis juste curieux de deux chose. Quelle tour il a gardé dans son sac et l'autre... quand à lui... Il a juste développé ses compétences en Résistance, mon sire faisait bien mieux. T'extasie pas dessus, c'est certainement la partie visible de l'iceberg... mais ta grenade nous à servi à le ralentir, mieux, il à temporairement perdu notre trace, il risque d'avoir dû mal à poursuivre la traque. Cette nuit, du moins..."

*Il n'avait rien dis de la diablerie, pratique commune, présume-t-il aux Autarkis :*
"On risque une chasse au sang. Je l'ai attaqué.

Ouais ben nous allons d'voir changer les paramètres du plan si on a les Camis aux derche. J'vais t'montrer la planque de la dame et des autres tarés et ensuite là où j'fabrique la bombe ce soir même. Question que tu puisse reprendre les chose en main si je me faisait mettre la mains dessus par accident.


En se dirigeant vers son véhicule, il rajouta sur un ton plus moqueur que réprobateur.


D'ailleurs il avait pas tord l'aut'e gugusse, tu laisse trop d'survivants et ne nie pas! Je t'ai vue faire! C'est comme ça que j't'ai retrouver la première fois, alors... C'est mignon comme tout, mais vraiment ton sire t'a montré à chasser comme un minet et là on a un gros chien de chasse au baskets à cause de ça. On pourra larguer les bagnoles après nos deux petits arrêts. Je connait un endroits sympa pour cramé le tout.

Gekiyaku:

"Un minet, hein ?"

De par le changement soudain dans l'aura du Gangrel, Rasmusen esquiva sans peine la première attaque. Il basculant agilement par dessus le capot de sa voiture, pour ainsi la placé entre eux deux. La commotion attira l'attention des passant et des autre clients de la station service.


Mec c'est quoi ton problème! Qu'est-ce qui ta mit la rogne mon vieux? Après ce qu'on vient de vivre on est dev'nus des frères me semble. Pourquoi ça maintenant?


Enreich pouvait lire de la peine et de la peur sur le visage du Séthite qui bien que pourvue de grand talents ne semblait pas enclins à s'en servir sous pressions. S'il perdait cette alliée inestimable, il ne saurait pas comment mettre son plan à exécution. Plus par manque de tripes que de savoir faire, son plan tomberais à l'eau et il serai à nouveau prisonnier de sa condition de second couteau pour Richard et Lady O'Hare.

Gekiyaku:

*Il tâche de muselé la bête. Il allait perdre son calme et entré en Frénésie, s'il ne trouvait pas un moyen de se calmé et vite. Tout se que Ran' voyait, était que Dred, secoué de frisson de colère, le visage furieux, presque bestial et malgré tout, un éclat encore humain dans son regard, alors qu'il tâché de se contrôlé, semblait lutté contre lui même. Il réussit à articulé, entre ses dents serré, un feulement bestial où on sentait la présence démente de la Bête :*

"Ne remet pas en cause mes méthodes de chasses, où le "minet" va te déchiré. Tués n'apporte rien, tu pense vraiment qu'être un assassin rime avec notre condition ? Tu pense vraiment qu'être une sale tique se nourrissant sur une humanité décadente est digne de se qu'on est ? Tués, c'est une option que nous avons, mais seulement quand nous somme contraint et forcé, car tué nous démontre que nous avons échoué, tué est une forme d'échec, nous admettons que nous ne somme pas assez qualifié pour essayé la diplomatie."

*Respiration inutile, mais elle l'aida à ne pas oublié qu'il n'était pas que feu de rage meurtrier sous le vernis d'humanité, vernis qu'il sentait sur le point de craqué :*

"Nous devons évité de tué, car c'est le moyen le plus rapide d'être enchaîné a ta bête. Avec tes talents, Ran, il te sera facile d'être l'amant que tout le monde voudrai avoir. Il te sera facile de te nourrir d'humain consentant, sans être forcé de les tués, sans cédé un pouce à la bête. Mais tu prêche le meurtre comme une leitmotiv. Alors, répond moi, juge tu que tué est une conditio sine qua non de notre existence ?"

*Il sentait que la bête attendait, il lui avait montré qu'il était le maitre... mais si il répondait mal ou se moqué, la Bête le dominerai et expulserai l'importun vers un monde certainement meilleurs

Rasmusen n'avait jamais considéré le point de vue d'Enreich comme étant une option valable. Pour lui ne laissé aucunes traces, n'avoir aucuns remords ni regrets et resté pragmatique à l'extrême lui avait été nécessaire pour survivre au sein de la petite bande à laquelle il avait été greffer par la force du destin. Celons-lui les scrupules d'Enreich le ferai tuer, et même il avait besoin de lui pour la suite du plan.




Hey R'garde mon vieux j'voulai pas t'insulter toi ou ton sire, que tu m'as décris comme étant le roi des tarés avoue, mais tu es prêt à éliminer une dizaine de ceux de ton espèces pour te venger de l'autre connasse qui te tien par les couilles. C'est deux poids deux mesures et ça c'est de l'hypocrisie envers toi-même et envers ta ''bête'' comme tu dit. Je suis d'accord avec le principe de respecté la vie et tout ça, mais de ton coté si tu ne te fait pas à la grisaille amoral qu'implique notre condition, tu va devenir complètement cinglé.



Rasmusen embarqua dans sa voiture et ajouta en démarrant.  




T'as qu'a me suivre si tu veux continuer ce que l'on a commencé. Sinon compte les jours avant que l'autre British te retrouve pour que vous aillé faire une ''dernière balade en forêts'', mais tu ne sera pas seul quand il te tombera dessus, car laisse moi te dire un truc. Je prendrais pas un pieux dans l'cœur pour sauvé la vie d'un humain, mais j'crèv'rais qui tu veux, voir j'irait me sacrifier, pour te sauvé la vie. Et si ça compte pas pour toi et ben on n'a qu'a se dire adieux.



Il regardait le kindred dans les yeux avec tristesse, espérant que cette complicité qu'il avait sentit se soudé entre eux-deux ses dernières semaines n'avait pas été qu'à sense unique.

Gekiyaku:

*Il monte dans "sa" bagnole et démarre aussi. Se que Ran' avait dis était vrai, en parti, mais il fallait comprendre que les scrupules étais tous se qui lui resté. Ce n'était même pas par fierté qui le maintenait en vie, c'était son obstination. Il suit Ran' jusqu'au lieu dis. Comme il avait dis, il avait horreur d'un taf inachevé et savoir que la petite bande de Tyler pouvait lui mettre la dessus à tout instant lui était déjà terrible. Une fois en lieu sûr, Ran' serait passé à la casserole pour savoir le plus de chose possible sur ses comparses. Talent, pouvoir, habitude, compétence, goût et couleur favorite s'il le fallait.*

La maison hanté de la 11ième heure était une véritable forteresse pour un œille exercé. Les accès de l'édifice étaient toutes condamnés par des plaque de contre plaquer à l'exception d'une porte de garage sur la façade nord. Enreich et Rasmusen observait de l'autre coté de la rue. Invisible au sense propre du terme, ils avaient le loisir d’observer se qui se passait devant le repère de la ''basse-court'' en toutes impunité. Le Gangrel ''reconnue'' la jeune fille qui portait un masque de lapin et une robe d'été des plus révélatrice. Elle semblait se chamailler avec une autre jeune dame qui portait un masque de cheval et un débardeur gris. À l'occasion on pouvait remarquer qu'elles exécutaient des mouvements faisant preuve d'une rapidités et d'un force hors du communs.



Bon là, tu sais où ça s'trouve, maintenant j't'amène à ma cachette privé, puis on ira cramé les poubelles. Allez vite! Il faut qu'on dég...  Ah merde!!!



Rasmusen aurai voulu partir au plus vite, car si Johan et Graham montaient ainsi la garde, Richard ne tarderais pas de revenir de sa chasse et c'était un spectacle qu'il voulait épargner à Enreich. Malheureusement les cris de joie des des demoiselles à la vue de la mini van conduite par Richard(portant un masque de coq et une veste de footballeur), attirèrent l'attention de son son compagnon.
Elles allèrent se coller le nez contre les fenêtres arrières en sautillant comme des gamines à qui s'impatientaient de déballer une surprise. Alors que Richard ouvrais la porte avec une télécomande pour ensuite y faire entrer le véhicule, le regard aiguisé du Gangrel perçue les visage de deux adolescente qui jetaient des regards apeuré par la fenêtre arrière. L'une d'elle sortie une pompe à asthme de son sac à mains et en prix une grande bouffé. Celle-ci commencèrent à douter qu'elle allaient vraiment à une ''rave party'' clandestine dont elle avaient reçue les invitation V.I.P. par internet.

Gekiyaku: