Ramasse la M....!!! (Enreich Dred) Lincoln Park

*Ce dis qu'au moins, son interlocuteur n'avez pas remarquer le blanc qu'il y avez eu. Ou alors, il était suffisamment polit pour ne pas faire de remarque.*
"Un boulot de videur ? Je ne sais pas jouer au chien de garde. Généralement, j'évite de rester planter comme un pot de fleur pour garder une porte, c'est bon pour les goules et les employer. Puis sans compter que l'art me parait surfait. Remarquer que je ne suis pas en état d'exiger."

*Se dis que s'il y a un Toreador dans la salle, celui-ci venait de périr d'une crise cardiaque. Il se crispe à la mention du sorcier :*
"Non, merci, je ne suis pas encore désespéré."
*Il penche la tête :*
"Déchiquetage de document ? Quel genre de document ? Et qui est cette personne ?"

*Grimace, cette idée l'emballer un peu moins, mais il ne pouvait s'empêcher de penser qu'en quelque sorte, l'errance était une voie comme une autre pour garder son humanité, il n'était pas certain de vouloir rester en ville avec tout les embrouilles que cela lui causer. C'était des dangers inconnus et la route fourmiller de danger connut :*
"Ouais, mais ils sont pas oublier que j'ai faillit Ramrod ad pâtres d'un tir dans les pneus."

Je sais pas pour les documents, un peu de tout je présumes et j'm'en fout bien franchement. Cléo c'est une paria au prêt des siens, les Nosferatus et ce simplement pour une question ''d’esthétique''. Venant de ces têtes des poissons pas frais c'est un comble tu trouve pas? Poutant je trouve qu'elle a du charme au naturelle... heum  Bref, parce qu'elle aurait conservé des traits trop humains on la traite comme une sous-merde. Ce qui la contraint à faire affaire à d'autres pour élever son statut de Kindred. Baltus il est bien resté une enflure de flicailles et un roast-beef puant, pourtant on le récompense comme un chien-chien qui exécute des tours sur demande.



À la mention de Ramrod il se rapprocha pour poursuivre sur un ton plus discret. Baltus conversait avec le toréador bedonnant et ne portait plus attention aux deux Kindred qui comensaient à connecté à un certain niveau.  


Pour Ramrod t'a pas en tant faire. Le gars fait peur au premiers abord, mais en faites il offre plus d’aboiement que de mordants. Et va pas répéter que j'ai dit ça! Tu ne cherche pas l'infant d'un Archon. Même toi tu devrais tenir ça mort.

Gekiyaku:

Baltus avait finie d'échanger avec son comparse d'un autre temps. Tous avait un passif qui remontait au début du siècle dernier entre la première et deuxième guerre mondiale. Leur amitié avait vue le jours pendant un effort d'évacuation des camarilliens vers la terre promise qu'était les États-Unis d'Amérique dans la crainte des conflits qui pouvaient éclaté à tous moments. Profitant du chaos d'une recession économique pour rejoindre leur cousins déjà en place qui modelait le monde capitaliste telle qu'on le connait aujourd'hui. D'autres menaces avaient vue le jours et périe entre-temps, mais il ne fallait jamais se croire à l'abris d'une attaque ou d'un risque. Les sabbat qui avaient élue domicile dans un secteur aussi proche en était la preuve. En regardant discrètement par dessus sont épaule il pouvait constaté que son infant ce détendait avec le nouveau venue. Toujours excellent juge de caractère, il savait que sont infant et lui ce trouveraient l'un comme l'autre sympathique et qu'il serai plus utiles à Enreich de trainer dans son cercle de relations plutôt que de le laissé se débrouillé sans contactes, ni conseilles. Il se retourna vers les deux jeune loups pour leur adresser la parole du comptoir.



Bon l'équipe de relève ne devrais plus tardé, je vous libère pour cette nuit. vous reprendrez votre ''assainissement pédestre'' demain.



Parfait moi je vais tracé la route également si tu me cherche voilà mon pied-à-terre. J'y s'rai quand t'y verra un bateau. autrement laisse un message...



Jeff remit une carte d'affaire froissé qui identifiait une compagnie de réfection de bateau à proximité de Chinatown.
Baltus se remit en place sur son tabouret entreprit de finir le mots croisé du journal de la veille.

Gekiyaku:

Enreich reprenait l'autoroute en direction de Lincon Park sur sa moto ''de fonction'' pour allez y finir la nuit. quand il réalisât vraiment que Baltus lui avait donné sa soirée et ce que ça impliquait. Avoir une soirée ''à lui'' ne lui était pas arriver depuis plus de cinq ans. Que pourrait-il faire des cinq heures et vingt-six minutes de temps libre qu'on venait de lui donné lui qui n'avait plus de loisir, la survie et la furtivité ayant été ses principales occupations depuis qu'il c'était libéré de l'emprise du Goliath, son sire. Il fut tirée de ses pensé quand son téléphone cellulaire tout neuf ce mit a vibrer et sonné dans sa poche.




Le texto venait avec une pièce jointe;

Texto:

Zone Autorisées

Gekiyaku:

*Il se retrouva avec deux portables. Oh, il ne comptez pas le gardé très longtemps, juste assez pour prévenir son allié de circonstance... peut-être. Il lut le texto en diagonale. La Camarilla était plus organisé qu'il ne l'avez pensé. Quand il compris qu'il était libre de sa soirée, il eu un moment d'égarement. Bref. Libre ? Vraiment ? Est-ce un piège ? Si oui, pourquoi ? Sinon... qu'allez t'il faire ? Il réfléchit quelque seconde. Qu'avez-t-il envie de faire ? Il n'en savait rien... il sourit. Toujours la même rengaine. Qu'allez-t-il faire ? Aucune idée, mais certainement pas travaillé, pour cette nuit, dû moins. Peut-être se perdre dans quelque magasin ouvert la nuit. Il avez besoin de nouvelle tenu. Celle que le Tremere lui avez filé était bien, mais son style était décontracte...*

La seule boutique encore ouverte à cette heure et su le chemin d'Enriech était le ''Hot Topic'' du Harlem Irving Plaza. C'était un centre commerciale construit principalement en sous-sol et l'entrée de la boutique donnait direct dans la section sou terraine du parking. Les papiers qu'on lui avait remit incluait un carnet de banque lui indiquant qu'il avait 6500 dollars en sa possession, accessible par sa carte guichet.  

Hot Topic:

La caissière Denise entamait une autre soiré morbide, entouré de tous ces objets aux thématiques en vogues et qu'elle devait vendre à une clientèle d'illuminer et d'enthousiasmes aux poches pleines de l'argent qui rembourserais son prêt étudiant. Une moto des service sanitaire public se stationna à quelques mètres de l'entrée. Il n'y avait pas un mois, Enreich aurai fuit se genre d’endroits bourrée de cameras de sécurités, mais qui n'était pas trop bondé de gens vue l'heures.

Gekiyaku:

*En sous-sol, il ressenti un bref instant de claustrophobie. Ces possibilités d'évasions venaient d'être réduit de manière drastique.... bon, de toute façon, les airs n'étaient pas sa voie. Il s'arrêta devant le magasin et traina un peu pour rentré dedans. Il n'était qu'à moitié confiant dans ces talents a grugé les mortels, il se mordit la joue intérieur. S'il ne croyait lui-même pas a la mascarade, personne n'y croirait. Il repensa brièvement à son identité en pénétrant dans le magasin. Il lança un bonsoir à la vendeuse, ni trop agressif, ni trop enjoué, le bonsoir d'un noctambule. Son regard balaya aussitôt le magasin pour prendre en compte la disposition des lieux et des caméras, ainsi qu'une éventuel sorti de secours. Il jeta un bref coup d'oeil à la vendeuse, une jeune femme a la peau sombre, les cheveux longs, avec un piercing façon anneau pour bovin. Il se dirigea vers les vêtements pour choisir quelque nouvelles tenues. Rien de bien extravagant, plus de tenue foncer que de tenue coloré, il ne dépenserai pas plus de 100$ pour sa nouvelle garde robe.*

Le jeune Gangrel s'approcha de la caisse avec un chandail à capuche et un jean noire qui n'arboraient tous deux qu'une discrète inscription ''Team Jacob'' brodées de fils blancs. Ignorant la signification même de cette marque, il avait prix ces vêtements pour leur couleur sombre et le conforts qu'ils offraient. La caissière ne fit aucuns commentaires sur ces choix. Face à cette individu sinistre qui semblait n'avoir que trop réussit son ''make up'' cadavérique. Elle en avait des eut des frissons au point qu'elle eut du mal à le regardé en face quand il lui remit les articles sur le comptoir. Elle s'empressa de ''scanner'' les articles et attendit que le total s'affiche pour risqué de s'adressé à se ''freak''.


Bienvenue chez ''HotTopic'' Et bien ça vous fera 96 dollars et 98, moins 10% sur le ''hoodie''. Donc 93 et 9 cents!  Vous... Vous payez cash ou par carte bancaire ou crédit?



Au moment de sortir son porte feuille un aire de boite à musique émergeât de sa poche lui indiquant qu'il recevait un texto sur le cellulaire rose que Rasmusen lui avait remit.

Sonnerie:

Rasmusen était dans les tréfonds du repaire de sa ''meute'' fortuite. Depuis quelque jours Enreich avait envoyer un message lui indiquant que l’assaut était imminent, il était sur les nerfs. Il ne pourrait pas omettre de signaler les mouvements suspects autours de la planques à Richard et aux autres encore longtemps. Il sortie de sa poche le téléphone qu'il avait récupéré sur le cadavre d'un collégien mort anonymement. Il contacta le cellulaire d'Enreich avec un texto.

TEXTO;:

*Il balaya la salle du regard et remarqua qu'il avait oublier de respiré pendant environ deux minutes, il s'efforça d'inspiré, l'air parfaitement normal, puis lui répond, d'une manière presque aimable :*
"Bonsoir... Cash."

*Il sentait son malaise et comme toute émotion. Elle était contagieuse. Il se força a cligner des yeux de manière régulière et de respiré a un rythme lent, mais régulier. C'était comme si elle était assied sur un cactus et quel était presser qu'il foute le camp, une envie partager de manière commune. Il déposa l'argent et partie. Il se serai volontairement plonger dans une réflexion oiseuse sur son devenir dans une société qui le rejetterai. Pour ne pas se voiler la face, il n'avait jamais était très bien intégré à la société, trop décaler, trop instable sans être malsain. Il sorti et démarra, puis s'arrêta dans un endroit plus discret pour répondre :
[Bientot. C pas plus.]

à la lecture de la reponse Rasmusen il dut se retenir de lancer l'appareille contre le mur. N'ayanty pas dautre moyens de rejoindre son contact ce n'aurait pas été très avisé. Ne remarquant pas que Graham et sa nouvelle protégée étaient en train de l'observer toutes deux juchée sur les dormant du plafond. Elle l'avait ''recrutée'' quelque semaines plus tôt parce qu'elle avait montrée plus de combativité que la normale une fois tombée dans leur filets. Richard, le leader auto-proclamé de la ''basse-court'', n'accordait que rarement ce privilège à un  membre du pack, mais Graham savait comment le manipuler et Rasmusen s'avait bien qu'elle briguait la position officiel de numéro deux que lui occupait presque à titre honoraire.



[On doit parler merde! / Ma piaule ou ailleur? / Demain soir?!]

Graham & Nancy:

À se moment, il remarqua des cheveux jaunes qui pendait au dessus de sa tête. Il leva les yeux et sursautât en voyant Graham et Nancy qui descendaient de leur perchoir. Leur masque de lapins assorties cachaient le contentement sur leur visage. Il l'avait prix en train de faire quelque chose de privé et/ou dangereux pour sa crédibilité  



C'est quoi? C'est qui? Graham, il y a quelque chose de louche!



AH! mais que... quoi! Que... fuck! Dégage! C'est mes affaires!



Graham enchaînât sur un ton passif/agressif et sarcastique



Ben ouais Nancy! Fait pas ta petite fouineuse! Si notre Rasmusen fait du ''catfishing'' en solo et ne partage pas avec les copains c'est son affaire. C'est pas interdit pour ''le second aux commandes'' d'égoïstement, de son coté, capturer ou flouer des proies faciles sans vouloir nous en faire profiter. À moins que Richard ne soit mit au courant et ne réclame sa juste ...  



Hey Oh! Va chier! Tu es toujours la première servit et miss majorette blondinette ici en est la preuve morte-vivante!



Cette pointe verbal sembla provoquer un choc émotionnel  chez la jeune ''Cainite''. Elle se blottît contre Graham et se mit à sangloté exagérément.



Gros vilain sur veille ce que tu dit voyons, la pauvre! Tu sais bien qu'elle n'a pas encore fait son deuil



Rasmusen les laissât à leur comedie fallacieuse et sortie de leur champs de vision pour vérifier si il avait déjà reçue une réponse d'Enreich.

Gekiyaku :

*Il réfléchit en un instant, une stratégie se mit en place, c'est étrange, alors qu'il pensait abandonner... il répondit par l'affirmative, méditant sur la suite des événements. Est-ce qu'il devait jouer le jeu de l'amoureux transi ? Hm hm... *
"Très bien, que dis tu de la première fois où nous nous somme parler, Brad. C'était très romantique."

*Il faisait bien entendu référence à la fois où Ran l'avait surpris en train de se nourrir d'une SDF, près du Park Stevenson. Celle qui bosser dans l'immobilier. Il ne se souvenait plus de son nom. L'avait telle dis ? Il leva les yeux vers l'un des néons de l'endroit et frissonna. Cela commencer comme cela ? On oublier le nom de ces victimes, puis on céder pas après pas à la Bête ? Jamais. Comme l'avait dis son Sire : La mort ultime plutôt que la reddition, que les crocs de Caïn soit plein de sang, le mien ou celui de mes ennemis...*