Ramasse la M....!!! (Enreich Dred) Lincoln Park

*Il regarda le Tremere repartir à sa place, sans rien dire. Il examina du coin de l'œil en terminant sa poche le japonais. Il comptait bien sûr prendre la glacière, il l'emporta même au vestiaire, jamais trop prudent. Une fois qu'il était dans les douches, il examina la pièce d'un regard amusé. La pièce lui rappelait les hostos, vide, froid et austère. Même une tombe était moins rébarbatif que cette endroit. Mais la perspective d'une douche était suffisante. Il choisit rapidement ses affaires, le jean avec le maillot. Rien qui puisse le déranger lors d'un combat. Il pris le portable et le fourra dans la poche du pantalon.

Cela faisait longtemps qu'il avait oublier l'effet de l'eau chaude sur sa peau. L'eau froide ne le déranger plus autant que quand il était vivant, mais l'eau chaude était une denrée précieuse. Il avez oublier ce que cela faisait. C'était quand la dernière douche qu'il avez pris ? Il se creusa la tête. Avant l'avion. Quelque heures avant, dans un hôtel, sa concession à l'immobilisme et a la civilisation. Pendant la douche, il se remémora les évènements des trois dernières années. Peut-être qu'il pourrait reprendre une vie normal. S'il ne mourrait pas demain. S'il ne périssait des mains de ces confrères gangrels.*

*Mais en avez t'il envie ? Il avez vue un tel bain de sang et une telle horreur dans les turpitudes de la non-vie qu'il hésiter à pouvoir marcher droit, maintenant. Qu'aurez fais son sire ? Il aurez probablement ricaner et aurez attendu avant d'attaquer. Une fois la douche prise, s'être sécher et habiller, il sorti du vestiaire avant de mettre les voiles.*

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*Il savait ce que cela voulait dire, il était effectivement temps d'y allez. Il se mit en route, mais prépara son texto, puis bloqua son téléphone, en moins de deux secondes, il pouvait balancer son portable. Une partie de lui, l'honorable, voulait tenir son engagement envers le séthite. L'autre partie, plus pusillanime, voulais trahir son engagement. Le message était juste inscrit : "!" Qui voulais tous dire et rien. Il espérait juste que Ran aurait la jugeote de bouger direct. Il s'engagea dans le trafic. S'il avais était mortel, il aurait eu peur pour sa vie. Mais il avait déjà dépasser ce stade, puisqu'il était mort. Qu'il réussisse ou qu'il échoue, le dernier coup de dès de ce chapitre serait jouer. Peut-être que cela sera son dernier chapitre. Peut-être pas. Il avais juste à espéré que jamais plus, il serait mêle à une bataille, même s'il savait que la non-vie était ainsi faite, il était destiner à mourir d'une sale mort, car qui vit par le fer périt par le fer et comme son sire disait :*

"As tu peur de mourir ? Tu l'est déjà. Et même pour ceux de notre espèce, la mort est la fin de notre chemin car un jour ou l'autre, nous tombons sur plus fort que soit. La plupart des lécheurs ne vivent pas plus longtemps qu'une tête de bétail. Mais la non-vie ne se compte pas en année. Elle se compte en nombre d'instant qui t'ont marquer et ont marquer le monde aux alentours. Je préfère vivre ma non-vie actuel et mourir d'ici deux ans des mains d'une proie plus forte que mes prévisions, plutôt que de vivre mille ans et de périr d'ennui."

*La lune était voilé par la pollution environnante. Les voitures était assez nombreuse, les lampadaires briller à intervalle régulier, comme autant de borne le long de son chemin. Dred savait que c'était stupide, car s'il ce déporter en direction de l'une d'elle, il s'écraserait comme une mouche sur un pare-brise. Il se sentait inquiet, comme à chaque fois qu'il allait mener un combat mortel, un ballet près des griffes tendus de la mort. Il s'arrêta une rue plus loin et se prépara mentalement à son travail. Il s'engouffra dans les ombres en élevant un filtre à perception et s'approcha du restaurant. A l'intérieur, il y avait Baltus et son destin, ainsi que quelqu'un de ces sbires. Il s'engouffra dans l'allée qui servait de lieu de décharge et fis tomber le manteau d'invisibilité, il s'engouffra dans la bâtisse qui servait de QG avancer. Son habitude d'être sur le fil du rasoir le fis balayer la salle des yeux. Il nota l'emplacement de toute les personnes, l'attitude de tous, leurs dispositions et les différents moyens de sauver sa peau tandis qu'il essayait de sourire alors que son air était grave.*

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*Il jeta un regard qui laisser percer de l'humour sur la serveuse qui avait l'air de crever d'ennui. Son regard l'informa que la pièce était un restaurant classique, comme il avait manger quand il était jeune, comme il avait draguer étant moins jeune. Il fût saisi d'un doute et il se demanda brièvement si elle espionnait pas pour le compte du sabbat, bien que ce n'était pas leurs genres d'user de marionnette, il y avait un début à tout, même pour eux. Il calma sa paranoïa et s'assied à l'endroit où on lui avez demander. Il dis, bas, mal à l'aise dans cette discussion qui était un chouila guinder.*
"Moi de même, monsieur Fujiwara et... Jeff."

*Il écouta la voix, profonde et basse, qui semblait sortir d'une caverne. Il répondit à la question d'un ton presque amusé, toucher malgré lui par la banalité de cette conversation :*
"Ma semaine fût relativement tranquille. Comparé à d'autre. Et vous ?"

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*Le marin était nerveux et cela le rendait nerveux aussi et cela ce ressentait dans sa posture, qui n'était pas calme, ces doigts tapoter distraitement le bord de la table. Comment se détendre alors que quelqu'un semblait s'être assit sur un cactus ? Il écouta jusqu'au bout, les yeux rivés sur la table, ayant compris qu'il avait jouer avec le feu et risquer de ce brûler les ailes en les regardant droit dans les yeux, il prit une longue seconde pour digéré les informations qu'on lui assener dans la gueule. Il murmure, presque à lui même :*

*Son regard glisse et se dirige vers les possibilités d'évasion, l'air de rien, il glisse le regard vers la caissière... la paranoïa était la, la bête grincer derrière les barreaux de sa cage. Il senti soudain mille question le piquer de dard interrogateur. Pourquoi si près du repaire du sabbat ? Pourquoi à la vue de tous ?*

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*Il ne pouvait qu'être navré par une telle étroitesse d'esprit. Avec nous ou crève ? Il était soudain las et irrité. La socialisation n'était pas son genre. Il dis doucement :*
"Je retiendrai que si je ne suis pas avec vous, je serez forcément contre vous."

*Il glisse un regard vers la personne qui venez de le menacer indirectement amusé et malicieux, mais sans le regarder droit dans les yeux, il fixer plutôt la bouche et le nez. Ces paroles pouvait être provocatrice, mais le ton était à la fois triste et résigner, nostalgique. Douloureux rappel des pratiques qu'il à subit. Une période marquer par la peur. Oui la peur. La douleur, la terreur subtil, c'était une époque terrifiante. Presque irréel par son aspect dément. Il ne s'en souvenait qu'à peine. C'était une période horrible. Car suite à la mort de son sire, il avez voyager loin, pour échapper à tout risque. Certain tyran de la petite semaine, généralement dans des endroits reculer faisait payer le droit de passage en sang et service.*

"Bien sûr et vous ? Avez vous la moindre idée de qu'implique le titre d'outsider ? Le regard de mépris qu'on vous adresse, les personnes qui pense que vous êtes un assassin parfait, utilisable puis destructible ? Les basses besognes généralement proche du cimetierre et du soleil, sachant que la plupart du temps, cela impliquera de risquer ton éternité pour quelqu'un qui commandera ta destruction pour enteriner le secret ? Je ne crois pas. Ce déplacer discrètement, dans des camions comme des clandestins, parce que tu as dis non à telle tyran de la petite semaine et qu'il pourrait avoir quelque chercheur de tête a sa solde, eux aussi outsider."

*Il tends une main ferme, bon grès mal grès.*
"Qu'il en soit ainsi."

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*Il hésita. S'en était une de tancer un kindred sous le coup de la rage, avec les feulements de la bête dans son esprit. C'est autre chose de devoir jouer au chaperon moralisateur :*
"Je vois. Mais le souci principale qui se pose, c'est son souhait personnel. Si la personne ne veux pas être différente, les chances de succès sont faible. Vous pensez que si je me pointer devant la tanière des sabbats en prêchant l'humanité j'obtiendrai un résultat ? Je ne pense pas. Est-ce un récent ? Un jeune nouveau-né ? "

*Il pensa avec amusement que les seuls vampires qui se prétendait artiste était généralement des malades aux dernier degrés avec une forte tendance aux tortures. Enfin, c'était le cas des Artiste que lui avez montré son sire. Des... timisce ? Quelque chose dans cette optique. Il réfléchit encore :*
"Je veux bien essayer. Je m'engage a essayer. Et vous êtes un artiste de quoi ?"

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*Trois ans, cela était relativement peu. Un peu comme lui, seulement trois ans, alors qu'il avez l'impression d'en avoir vécu trente sous le joug de son sire. Une vrai galère. Il était pensif, il n'avez pas toutes les cartes pour décider comment l'aider. Mais c'est la que Yoshie se mit à blablater sur les mérites et aboutissement de son travail, fier comme s'il avez créer la cafetière et la poche de sang, deux outils qui sont extrêmement utile. Dred écouta avec politesse, jusqu'à ce qu'il ni tiens plus et profita d'une courte pause pour signaler :*
"Cela dois être très intéressant, mais je n'ai pas compris a partir de la deuxième minute le sens des phrases. Je ne dois pas être assez malin. Navré, mais j'ai un peu de mal à vous suivre dans vos équations."

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*C'est étrange, car cette homme, malgré sa voix caverneuse et son air peu avenant lui rappeler son grand-père, qu'il avez bien aimer, à son époque, qui avez une grosse voix aussi, un vrai ours avec une pipe au coin de la gueule. Il hoche la tête et écoute avec attention :*
"D'ac, Brézilien/Germano rescapé d'un cancer."

*Prend note mentalement :*
"Il est marqué le type de cancer ? Que je ne dise pas autre chose que la version officiel. Quand à ta voix, c'est vrai qu'elle est particulier. Mais bon, je suppose que comme tu as l'air d'un marin, dire simplement qu'a force de gueuler dans les gréements pour qu'on t'entendre, sa à impacter ta voix"

*Il glisse d'un ton bas, presque trop bas pour que son interlocuteur l'entende :*
"Je saurait donc quoi faire si je dois prendre la tangente ou si je veux rester discret."

*Sa phrase avez était prononcer sur un ton sans humour, car il ne se moquer pas de lui.*
"Un vrai taf de merde qui consiste à ramasser la merde des chiens... *Narquois* moi qui croyez qu'être dans la merde n'était qu'une expression."

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